©Jérôme Bonnet

Je suis avant tout un reporter. Rien ne m’inspire plus que l’imprévu du terrain. Peu importe le milieu où je m’aventure. Raconter la réalité à travers des images a toujours été au centre de ma vie.

Pendant 30 ans, j’ai sillonné le monde avec ma caméra, en réalisant de nombreux grands reportages et documentaires de société pour les principales chaines françaises ( à voir ici). Mon aptitude à m'immerger complètement dans mes sujets, m’a permis de naviguer dans des environnements aussi divers que complexes. De l’élevage industriel ( Les travers du porcs), aux enquêtes criminelles ( Le crime était presque parfait), du combat d’Aliaa, jeune féministe Égyptienne (Aliaa la révolutionnaire nue), à l’histoire de Paris à travers son sous sol (les Gardiens du Paris souterrain), je me suis toujours attaché à capturer l'imprévu, et à révéler des aspects souvent ignorés de notre société.


En 2021, la photo a fini par me rattraper.  Je décide donc de ressortir mon boitier, et de ranger ma caméra. Très vite de nouveaux projets voient le jour. Je participe dès sa création au magazine BON (soutenu par Thierry Marx) pour lequel j’écris et photographie des sujets touchant à l’alimentation, la revue 180° me commande des photos, et je participe à l’ouvrage collectif «le Bal des Rejettons» (éditions de Juillet).

En parallèle, pour affiner mon regard et mon écriture photographique, je participe à de nombreux ateliers animés les photographes dont le travail m’inspire (Cyril Zanettecci, Guillaume Herbaut, Jérôme Bonnet, Denis Dailleux, Franck Ferville …)

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